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Aide à la production phonographique - musiques actuelles

Mis à jour le 05 décembre 2024

Développer l'offre, lancer de nouveaux produits

Toutes les aides

  • Soutenir les projets phonographiques dans le domaine des musiques actuelles, du jazz, de musique world / traditionnelle et jeune public ;
  • Favoriser l’émergence de nouveaux talents, soutenir la création, faciliter la prise de risque des structures de production et les encourager à investir sur le long terme dans le développement de carrière des artistes.

Structure de production phonographique, porteuse du projet et détentrice des droits sur les enregistrements :

- affiliée au CNM ;

- commerciale ou associative ;

- employeuse des artistes ;

- détenir les droits sur les enregistrements (master owner) ;

- respecter au moins deux des critères suivants :

  • avoir un catalogue phonographique composé d’au moins trois références, dont chacune comprenant au moins cinq phonogrammes (titres) et/ou ayant une durée cumulée supérieure à 20 minutes ;
  • avoir 50 % de son chiffre d’affaires issu de la production phonographique (redevances, droits voisins, ventes physiques et numériques, droits de synchronisation, monétisation, merchandising) ;
  • avoir un volume d’investissements en production phonographique supérieur ou égal à 25 000 € sur l’année civile précédant la date de dépôt du dossier ou à 50 000 € sur les trois années civiles précédant la date de dépôt du dossier.

Subvention plafonnée à 40 % des dépenses éligibles et à 15 000 € par projet.

Le montant cumulé des aides par bénéficiaire et par an est plafonné à 135 000 €.

Un même projet ne peut pas avoir bénéficié d’autres aides du CNM sur les mêmes dépenses.

  • Rémunérations artistiques ;
  • Autres rémunérations liées à la production : personnel mobilisé sur la direction artistique, la réalisation,  etc. ;
  • Charges d’enregistrement : location studio prises et mixage, location de matériel, etc. ;
  • Dépenses annexes liées à l’enregistrement : hébergement, transport, etc. ;
  • Post production : montage, codage, mastering, frais de création visuels ;
  • Frais liés à la production de contenus digitaux promotionnels dits “standards” : EPK, capsules web, teaser, canvas, visualizer, etc.,
  • Quote-part de 30 % du poste Promotion / marketing communication.

  • Soutenir les projets phonographiques dans le domaine des musiques actuelles, du jazz, de musique world / traditionnelle et jeune public ;
  • Favoriser l’émergence de nouveaux talents, soutenir la création, faciliter la prise de risque des structures de production et les encourager à investir sur le long terme dans le développement de carrière des artistes.

Le projet doit présenter les caractéristiques suivantes :

  • Il ne s’agit pas d’un projet de compilation ;
  • Le précédent album de l’artiste, dans la mesure où le projet n’est pas un premier album, ne s’est pas vendu à plus de 50 000 exemplaires physiques ou équivalent stream (selon la méthode de calcul du crédit d’impôt à la production phonographique) ;
  • L’enregistrement doit être constitué d’au moins 50 % d’œuvres dont le master n’est pas encore commercialisé (à l’exception des albums enregistrés en public) ;
  • Le projet doit être constitué d’au moins cinq titres et/ou l’ensemble des titres doit être d’une durée supérieure à 20 minutes ;
  • Les enregistrements du projet doivent bénéficier d’une distribution commerciale, physique (nationale) ou numérique (un contrat co-signé est exigé) ; les distributions numériques prenant la forme de prestation de service ne sont pas éligibles ;
  • Le projet ne doit pas être commercialisé avant la date de dépôt du dossier. A titre exceptionnel et dérogatoire, compte tenu de l’ouverture en cours d’année 2023 de ce programme, un projet commercialisé avant la date de dépôt du dossier peut être éligible, sous réserve que cette commercialisation soit postérieure au 20 mars 2023, date d’entrée en vigueur du présent règlement général des aides modifié, et ce jusqu’à la première date limite de dépôt du dossier pour 2023 ;
  • Le projet doit être financé à plus de 50 % sur les fonds propres (apports de la ou des structures de (co)production, d’édition, crowdfunding, mécénat, organismes de gestion collective). Dans le cadre d’une coproduction, le contrat devra faire état de la répartition de la subvention entre les parties. En fonction de cette répartition et du montant demandé, la commission pourra ajuster le niveau d’intervention.